AVERTISSEMENT
A ceux qui me taxent de simple provocateur et qui cherchent sans cesse à me nuire en me menaçant de déposer plainte contre moi, à ceux également qui me destinent leurs appels téléphoniques anonymes malveillants ou qui m'envoient des mails injurieux sous le fallacieux prétexte que la couleur de mon beau chapeau de sybarite déplaît à leur belle-mère en proie à des furies utérines ou que mon verbe ciselé perfore leurs minuscules convictions de minables et attente prétendument à leur dignité de cancaniers palmipèdes, je réponds ceci en ce qui concerne ce texte qu'il liront avec une secrète délectation sous une façade hypocritement outrée :
L'article fantaisiste dans lequel je cite nommément et mets en scène de manière scabreuse madame Ségolène Royal et monsieur Nicolas Sarkozy n'a rien de diffamatoire, d'injurieux ou d'irrespectueux à l'égard des illustres intéressés que je viens d'évoquer.
Ce texte franchement scatologique est à prendre au tout premier degré certes, mais dans l'esprit de la grande tradition rabelaisienne.
Je ne cherche à piéger personne.
Que celui qui ne souhaite pas lire ce texte de crainte d'être choqué ne le lise tout simplement pas.
Nul n'est obligé d'aller mettre le nez là où c'est supposé ne pas sentir bon.
Vous voilà avertis !
Que les lecteurs dûment prévenus noir sur blanc ne viennent pas se plaindre ensuite que je suis un "provocateur", puisque précisément je viens de leur conseiller de ne pas aller mettre leur museau dans le fumier.
Un texte aussi outrancier que celui que vous allez lire -ou non- et surtout parfaitement apolitique est destiné à faire rire, on s'en doute. Voilà un écrit purement récréatif.
A ceux qui me taxent de simple provocateur et qui cherchent sans cesse à me nuire en me menaçant de déposer plainte contre moi, à ceux également qui me destinent leurs appels téléphoniques anonymes malveillants ou qui m'envoient des mails injurieux sous le fallacieux prétexte que la couleur de mon beau chapeau de sybarite déplaît à leur belle-mère en proie à des furies utérines ou que mon verbe ciselé perfore leurs minuscules convictions de minables et attente prétendument à leur dignité de cancaniers palmipèdes, je réponds ceci en ce qui concerne ce texte qu'il liront avec une secrète délectation sous une façade hypocritement outrée :
L'article fantaisiste dans lequel je cite nommément et mets en scène de manière scabreuse madame Ségolène Royal et monsieur Nicolas Sarkozy n'a rien de diffamatoire, d'injurieux ou d'irrespectueux à l'égard des illustres intéressés que je viens d'évoquer.
Ce texte franchement scatologique est à prendre au tout premier degré certes, mais dans l'esprit de la grande tradition rabelaisienne.
Je ne cherche à piéger personne.
Que celui qui ne souhaite pas lire ce texte de crainte d'être choqué ne le lise tout simplement pas.
Nul n'est obligé d'aller mettre le nez là où c'est supposé ne pas sentir bon.
Vous voilà avertis !
Que les lecteurs dûment prévenus noir sur blanc ne viennent pas se plaindre ensuite que je suis un "provocateur", puisque précisément je viens de leur conseiller de ne pas aller mettre leur museau dans le fumier.
Un texte aussi outrancier que celui que vous allez lire -ou non- et surtout parfaitement apolitique est destiné à faire rire, on s'en doute. Voilà un écrit purement récréatif.
Aucun message particulier à faire passer.
Vous voilà doublement prévenus.
Quant à ceux qui se sentiraient une âme de justicier du dimanche pour aller cafter à Sarkozy et à Royal que je les traîne dans la merde -nous sommes là dans la grosse facétie bien entendu- rien que pour se faire de la publicité à bon compte, à ceux-là je leur dis tout de suite : pas cap !
A bon entendeur...
Raphaël Zacharie de IZARRA
LE TEXTE :
ECHANGES INDIGNES ENTRE ROYAL (aussi appelée Sale-Vache) ET SARKOZY (dit Gros-Zizi)
Incroyable !
Sarkozy à la fin du débat télévisé devant les caméras du monde entier s'est levé, est monté sur la table, a sorti son gros zobinard en le dirigeant vers madame Royal et joignant le geste à la parole a dit :
- Tiens grosse salope de Ségo de mes deux, cela faisait deux heures quarante minutes que j'avais envie de te pisser à la gueule, voilà qui est fait !
Après avoir ainsi vidé sa vessie sur le visage interdit de Madame Royal (qui s'est cependant vite reprise), il a refermé sa braguette et s'est rassis comme si de rien n'était, un sourire narquois sur les lèvres.
Sur quoi la pauvre Ségolène, toute dégoulinante d'urine encore fumante s'est levée à son tour, est montée sur la table, imperturbable, s'y est accroupie et a déféqué de toutes ses forces en direction de monsieur Sarkozy en lui répondant sur un ton cynique :
- Ha ben tiens je te rends la monnaie de ta pièce mon p'tit Sarko : après la pinte de bière tiède, voici le chocolat chaud !
Ces derniers échanges furent déplorables, lamentables, atterrants et surtout donnent de la France une image vraiment affligeante. Les candidats de nos jours ne savent vraiment plus se tenir !
Si à présent les candidats se mettent à se pisser et à se chier à la gueule en guise d'argumentation, où va-t-on ? Je vous le demande !
En toute sincérité, je trouve ton blog complètement vide d'intérêt. Il ne suffit pas de bien savoir s'exprimer par périphrases pour dire des choses pertinentes. Moi aussi je peux faire ça. Je trouve ça d'un pathétisme...
RépondreSupprimerA bon entendeur, salut ! :)