mercredi 30 décembre 2009

MICKAEL JACKSON VICTIME DES APPARENCES

Comme je l'ai toujours cru, Mickael Jackson n'a jamais été un pédophile !

Il aura fallu attendre sa mort pour que la preuve de son innocence soit enfin apportée (la "victime" vient d'avouer son mensonge dans un but purement lucratif).

Je n'ai jamais mis en doute sa pureté car j'ai avec lui un point commun : le syndrome de Peter Pan.

Dans ce monde cynique et hyper matérialiste aux antipodes des idéaux que je défends, l'authentique pureté de Mickael Jackson ne pouvait pas être comprise.

Oui on peut dormir avec des enfants (comme l'avouait sans complexe ni ambigüité Michael Jackson devant la caméra du reporter) sans être pédophile pour autant.

Cela ne dérange que les esprits mal tournés. L'innocence ça existe encore, Dieu merci ! Personnellement je n'ai jamais trouvé déplacé l'aveu de Mickael Jackson à ce sujet, n'ayant personnellement pas l'esprit à ce point corrompu par l'hystérie anti-pédophiles.

Mais surtout, parce qu'entre esprits sains on se comprend.

J'ai toujours perçu la pureté de coeur de Michael Jackson, ne lisant nulle perversité dans son regard, ne décelant aucun vice pédophilique dans son être et son attitude. Juste l'authenticité, la grande pureté de cœur du Peter Pan qui naïvement avoue à des citoyens honnêtes (en réalité des loups cyniques) dormir avec des enfants sans que la moindre crainte qu'on puisse l'accuser de pédophilie n'effleure son esprit sain.

Il ne m'est jamais venu à l'esprit que Mickael Jackson fût pédophile sous prétexte qu'il dormait avec des enfants. Faut-il être d'une réelle perversité pour croire cela quand on connaît un peu le personnage ! Mickael Jackson n'avait rien d'un pervers ni d'une crapule, bien au contraire c'était un homme -un enfant plutôt- épris d'idéal. Les journalistes qui ont semé le doute et la populace qui a cru à leurs insinuations sont de réels pervers, eux.

Mickaël Jackson avait la naïveté d'un vrai coeur pur.

Comme tous les gens purs de son espèce, il a été victime des apparences.

Victime de sa pureté de coeur.

Cela ne me choque pas qu'un personnage comme lui reconnaisse dormir avec des enfants. Son innocence transparaissait sur son front.

Ses moeurs de Peter Pan n'avaient vraiment rien de compromettantes : évidence que des esprits malsains, des coeurs viciés par le matraquage médiatico-politique ne peuvent pas comprendre.

Raphaël Zacharie de IZARRA

jeudi 24 décembre 2009

863 - Macho

Les eunuques ont pris place dans notre société émasculée. Toute une génération qui se sent à l'aise dans ce monde de caniches. Il ont leur leur roi -couronné de dentelles- et ce roi s'appelle Dupont, leur olympe -le poulailler-, leurs lois -le code des pédés-, leurs grands centres de féminisation aussi, nommés "médias", "république", "publicité".

Leur pire ennemi : la virilité. Leur credo : la castration. Leurs opinions : celles de leur femme.

Poules d'eau vêtues de tutus mentaux, mauviettes mouillées dans les affaires de tata, héros du métro chaussés de pantoufles, ces roquets à la dent molle prônent le nivellement des sexes, l'édulcoration des genres, voire le total rabaissement phallique, confondant volontiers la morale du mâle avec le code du parfait châtré.

Ils ont une fierté de limace, des intentions de toutous, des revendications de soumis.

Persuadés de respecter la femme parce qu'ils la laissent démocratiquement piétiner leur épée de son talon-aiguille (ce fer-de-lance de la volaille en révolution), tordre leur marbre originel devenu bâton de guimauve, briser leur double vase solaire, ils sont devenus féministes, sodomites, avorteurs...

Et prennent leur dévirilisation pour de la galanterie.

Rasés de la tête aux pieds, annelés comme des bestiaux matés et adoptant les moeurs veules, plates, flasques des hôtes des potagers, ils ont fini par arborer la face placide des pantins poltrons, singer les allures ternes des mignons moineaux de mai...

Au nom de la parité Mars-Vénus ces jolis sont d'accord avec toute avancée de la cause pourvu que leur panache piteux de coquelets déplumés ne dépasse pas la permanente des porteuses de jupes qui les tiennent en laisse...

Après avoir lamentablement poussé les caddys de supermarchés, ces torcheurs de nourrissons s'attèlent aux landaus... Ils donnent même le biberon ! A quand l'allaitement ?

Moi je suis un macho, un vrai. Sans chaîne.

Mâle immémorial, héritier sain de mes gamètes intacts, imperméable aux siècles, antipathique mais authentique, nulle femme ne saurait me dénaturer.

Je suis un dominant, un vainqueur, un lion.

Porteur du sceptre qui désigne l'astre masculin auquel je m'identifie, je sais où est la place de l'homme et où est celle de la femme.

J'ai avec moi l'autorité innée de ceux qui ont conscience d'être fils de Râ et s'en glorifient. Au lieu d'en rougir devant l'autel mensonger des féministes.

Un mâle est un seigneur, la femme son naturel laudateur.

C'est la loi.

La loi des sexes, non celle du siècle. Toute descendante d'Eve qui se révolte contre la souveraineté de son demi-dieu n'est pas digne de se faire ensemencer. La gloire de la femme est dans les germes d'humanité qu'elle porte en son sein, non dans le venin du féminisme qu'elle inocule à son maître.

Je suis un macho, un pur, un dur, sans artifice. Ma pensée est de fer, mon front est lumineux, mon flanc divin.

Mon regard choisit, ma main désigne, mon bras décide, la femme dit oui.

Borné, moi ?

Non, simplement burné.

dimanche 20 décembre 2009

862 - Vive la pollution !

La pollution est une réalité plus médiatique qu'effective, à mon sens.

Je ne nie pas la pollution, je prétends seulement qu'elle est insignifiante. Je ne crois pas que l'homme puisse faire fondre les pôles. Et quand bien même il le pourrait avec ses petites fumées, quelle importance ?

Depuis que l'homme est sur terre il n'a cessé de la transformer, de canaliser ses forces, de l'embellir, de la domestiquer à sa convenance.

Bref, de donner un visage humain à la friche originelle.

Agir sur notre globe originel, c'est nécessairement le défigurer.

Creuser le sillon n'a rien de naturel, certes. Mais justement, c'est cela que l'on appelle la CIVILISATION. Fondamentalement le geste est le même entre faire naître un sillon et faire sortir de terre des usines : l 'acte reste un acte de civilisation.

La seule différence est dans la profondeur de la plaie dans le sol occasionnée par le génie humain. Mais le principe est le même.

Pour réduire, voire éliminer radicalement la pollution, il faudrait tout simplement cesser de vivre. Absurde, non ?

Ne perdons pas le nord : vivre c'est polluer. Revoyons plutôt la notion de "pollution", puisque respirer c'est fatalement "polluer". Que ce soit le poumon humain ou le poumon industriel qui rejette du "gaz nocif", fondamentalement quelle différence ? Les deux sont au service de l'homme. La pollution fait partie intégrante de la vie comme la mort, la souffrance ou les morpions.

Excréter, uriner, suer, rire, aimer le beurre, les carottes, son chien, ses enfants, sa femme, sa maîtresse, n'est-ce pas contribuer activement à la "pollution" ? L'écologiste primaire voit les problèmes sans aucun recul, essentiellement à échelle sociale, psychologique et non dans sa globalité, sa complexité, ses nuances. Encore moins sous l'aspect philosophique.

Débarrassée des fumées émotionnelles, la "pollution" ne signifie plus grand chose. A la lumière de la pensée rationnelle cette "pollution" est à reconsidérer car elle n'a plus du tout le même sens vue sous l'angle de la subtile, durable et gigantesque machinerie géologique qui se moque des spéculations humaines...

Je suis persuadé que les fumées d'usine -tout comme les vomissements volcaniques- s'incluent dans la complexe, miraculeuse alchimie des éléments. Selon moi les fumées industrielles ne s'opposent pas à l'ordre : au contraire elles entrent dans la danse géologique. La planète réagit aux agressions comme notre corps face aux virus : elle tire profit des stimulations extérieures pour recombiner ses éléments et s'enrichir, trouver des parades, se complexifier à l'infini.

Elle se réinvente en permanence, se renforce pour mieux tourner, durer, briller avec ses soeurs dans la grande symphonie galactique. A l'image du corps humain qui s'adapte à son milieu et gagne des centimètres, des anticorps, des années de vie supplémentaires avec les siècles et, parallèlement, invente l'agriculture, l'Art, le chant grégorien, les réseaux d'égout, les médicaments, les fusées interplanétaires, INTERNET, etc.

Tout dans la nature nous montre que la vie est un principe auto-régénérateur, auto-réparateur d'une insoupçonnable ingéniosité triomphant de tout, s'imposant partout, émergeant de toutes part sans explication.

N'est-ce pas miraculeux ?

Bien sûr entre l'agression (ou plutôt la stimulation extérieure) et sa mise à profit il faut un laps de temps nécessaire. Plus la machine est imposante, plus elle a besoin de temps pour s'adapter à sa nouvelle condition. Entre la plaie et sa totale guérison il y a la cicatrice. Ce que nous vivons à notre échelle, ce sont les effets immédiats de ces stimulations. Pour faire simple, les plaies, les cicatrices. Pauvres fourmis naviguant sur le vaste paquebot planétaire, nous sommes trompés par notre manque de recul... Mais nos enfants naîtront dans un monde réparé et fortifié.

Le principal défaut des images spectaculaires que l'on nous montre au sujet de la pollution, c'est qu'elles sont spectaculaires précisément.

Le prodige de l'adaptation des éléments face aux activités humaines, volcaniques, telluriques ou cosmiques est, il est vrai, moins clinquant pour l'oeil blasé, moins retentissant en termes médiatiques. Cette merveille des merveilles est plus lente à constater (plus difficile à admettre psychologiquement tant les humains, habitués à la voir, ont tendance à la nier), elle n'en est pas moins réelle.

"Pollution" est un terme dont le sens a été perverti pour servir des causes politiques : sa forte connotation négative agit puissamment sur la psychologie des foules de la même manière que les termes "chrétien", "juif", "républicain", "hérétique" furent en d'autres temps lourds de conséquences pour qui y était sensible.

L'humanité des ânes a un grand défaut : elle réagit comme une girouette au vent médiatique. Il aurait suffit que depuis une ou deux décennies les médias insistent sur les dangers d'une éventuelle collision d'un astéroïde contre la planète (au lieu de focaliser l'humanité sur la pollution) pour qu'aujourd'hui la mode soit à l'hystérie cosmique...

Il se trouve que c'est la pollution qui a "marché" médiatiquement parlant, alors le monde (des nantis) s'est mit au vert. La prise de conscience écologique est purement artificielle, fabriquée de toute pièces par les médias et non pas spontanée, intuitive. La preuve qu'elle n'a rien d'universel, c'est qu'elle est active exclusivement dans les "pays snobs". L'écologie est la morale des nantis, la religion des repus, l'idéal des âmes bernées par les apparences.

A mes yeux le vrai problème de l'écologie c'est l'eau. Le reste n'est que divagations et fumée.

Quant aux fumées d'usines, elles prouvent la bonne santé de l'humanité. Les pays pauvres envient nos émanations industrielles. Que les écologistes aillent tenir leurs discours devant les miséreux des bidonvilles qui bavent d'envie devant nos villes propres et débordantes de richesses ! Ils passeront pour des fous. Pire : des criminels.

Jusqu'à aujourd'hui je n'ai jamais été malade en mangeant des produits issus de la terre, ni été intoxiqué par l'ingestion d'eau, encore moins eu la peau brûlée par la pluie... Au contraire je trouve l'air respirable (même en ville), la nourriture excellente, la campagne enchanteresse, les étoiles magnifiques au-dessus du monde. La civilisation a du bon, tandis que la misère, la sauvagerie, l'ignorance, la régression sont de vrais calamités.

Certes il y a quelques forêts détruites par des pluies acides en Allemagne dont on a fait tout un fromage... Les forêts allemandes ne sont pas les forêts du monde entier. Ce n'est pas parce qu'on montre des images sensationnelles d'un drame local que la planète est en feu pour autant. On ne cesse de nous montrer les parties blessées de notre monde tout en omettant de nous montrer ses vastes parties saines... Quand les Verts mettent le doigt sur les infimes furoncles de la terre, moi je vois les océans végétaux de l'Amazonie encore vierges, je vois les immensités intactes et sauvages de la planète, toutes ces beautés terrestres, cette santé géologique, ces espaces sains, ces réserves naturelles, ces richesses potentielles dont on ne parle JAMAIS.

mardi 8 décembre 2009

861 - La Rivale

Qu'expire aujourd'hui votre coeur éploré : je viens de vous voler votre dernier amant.

Mais vous n'en vouliez pas, n'est-ce pas ? Vous lui avez craché à la face, vous avez bafoué la flamme qu'il vous destinait, vous vouliez abuser de ses sentiments, jouer avec lui, le piéger avec ses propres filets alors qu'il n'y voyait déjà plus rien, aveuglé par la foudre qu'il avait lui-même provoquée.

Vous avez manqué de discernement : ses feux si purs avaient pris le pas sur le simple jeu...

Ce rêveur, cet idéaliste, ce "déséquilibré", cet énergumène croisé un jour dans une maison de campagne, puisque, désinvolte, vous le négligez, le manipulez, il est pour moi. Il m'intéresse ce mortel...

Je suis votre plus grande rivale. Je ne rends jamais ceux que je prends. Je suis la plus fatale séductrice et aucun jouvenceau ne sait me résister dès lors que se posent sur lui mes prunelles d'amoureuse, tant mes orbites profondes, mon sourire carnassier fascinent...

Raphaël ne songe plus à vous, il vous a oublié, il est à moi. Je suis l'Ensorceleuse, l'éternelle épouse, la souveraine Amante vous dis-je ! Plus ils sont tendres et fous, mieux ils me rendent hommage. Le culte que je voue à cette jeunesse est impérissable, démesuré, sans faille.

Ce matin j'ai posé mes lèvres sur celles de votre bien-aimé dédaigné et mon baiser a scellé à jamais notre union. J'ai emporté, bien serré contre mon sein, ce nouveau fiancé à la peau suave. Dieu ! Qu'il était blême ce visage qui me fixait... Qu'ils étaient émouvants ces yeux effarés, figés, pétrifiés par le Grand Amour venu le chercher au bord du lit ! C'est ainsi que je les préfère, mes promis. J'ai passé la main sur le front de votre Raphaël, et à cet ultime effleurement son regard s'est éteint.

Désormais il m'appartient corps et âme.

Je suis venue vous témoigner cette folie entre moi et Raphaël. Nous nous sommes unis dans une infernale volupté. Une étrange ivresse faite de larmes et de soupirs, d'effroi et d'abandon. Soyez jalouse à mourir parce que je l'ai possédé de la tête aux pieds. J'ai promené ma bouche partout le long de sa chair rigide, mes caresses ont exploré le fond de ses entrailles pacifiées et ma voix caverneuse a bercé son flanc vidé de chaleur. Il faut vous dire que je ne nourris mes espoirs que des mets froids de l'hymen.

Mon royaume est de glace, ma terre est d'ombre et mon lit est, vous l'aurez deviné, de marbre.

Vous n'ignorez plus qui je suis à présent.

Votre courtisan d'hier est à moi. A moi, et à moi seule. Je l'aime et le tiens bien contre moi, mes bras d'acier serrés autour de son corps inerte.

Et je ne vous le rendrai jamais.

Jamais.

Signé : votre belle et puissante rivale, Madame la MORT.

samedi 5 décembre 2009

860 - Polluez !

Pour contrer les adeptes de l'hérésie millénariste du "Veau d'Or vert" en proie à l'hystérie climatique qui annihile jusqu'aux plus critiques et érudits des esprits de ce monde aliéné à la vérité médiatique unilatérale, je propose l'électro-choc izarrien : la libération effrénée des particules vivifiantes de l'intelligence dans l'atmosphère de la pensée contemporaine polluée, enfumée, sclérosée par les versets écologiques.

Quoi qu'on fasse, quoi qu'on dise, tout le pétrole sera brûlé, d'une façon ou d'une autre. Nos lois anti-pollution et "moteurs propres" ne sont que décrets de fourmis et agitations de papillons au regard de leur impact réel sur la planète : insignifiant.

Plus vite on brûlera nos réserves d'hydrocarbures, plus vite le problème psychologique de la "pollution" sera réglé.

Car le problème de la pollution est plus dans les têtes que dans les faits.

Puisque de toute façon notre énergie fossile sera consumée (plus ou moins vite il est vrai, mais là encore à l'échelle géologique un an, un siècle ou mille ans reviennent au même), autant mener rondement l'affaire en profitant pleinement des bénéfices que cela nous apporte. Culpabiliser pour "la planète" comme disent les messies d'opérette et leurs disciples infantilisés, (tous persuadés de "rouler propre" avec leurs voitures thermiques), n'empêche pas les hydrocarbures de brûler. Ni ne fait qu'ils se consument plus légèrement...

Au passage il est intéressant de noter que les termes "pour la planète" sont en voie de devenir magiques : l'argument purement émotif se suffisant à lui-même. Vide mais efficace. De l'ordre du superstitieux.

Dans leur acception intrinsèque les voitures propres n'existent pas. Rappelons que "polluer moins", c'est comme "tuer moins", "empoisonner moins", "détruire moins".

Faire "moins sale" n'a jamais fait propre.

Ou plus exactement, parce que quand il s'agit de brûler les réserves de pétrole la notion de "polluer moins" n'a plus aucun sens, il serait plus juste, plus honnête de dire : POLLUER PLUS LENTEMENT A L'ECHELLE HUMAINE.

Ce qui revient à dire polluer à l'échelle de la psychologie collective. Mais non à l'échelle géologique. Ce qui dans les faits, et rien que dans les faits, est dérisoire. Encore une démonstration éclatante que la pollution de la planète est surtout dans les cerveaux !

Non l'humanité n'est pas folle au pont de se suicider, asphyxiée par ses propres exhalaisons ! C'est sous-estimer l'Homme et son génie que de lui prêter de si piètres instincts ! Les écologistes ne sont que les manifestations hystériques de l'humanité, une fausse alarme, non ses anticorps.

A l'échelle mondiale l'écologie est une fièvre passagère, une réaction épidermique, un frisson d'obscurantisme.

Une diarrhée bruyante mais peu virulente.

Les écologistes sont très actifs. Le monde malgré tout poursuit ses activités industrielles et économiques, les émanations carboniques de la Chine étant la preuve réconfortante de la bonne santé de l'humanité qui heureusement ne s'arrête pas de respirer pour une simple allergie locale.

De toute façon nous ne polluerons jamais plus que nos réserves ne nous le permettent. Or, à entendre les Verts, nos rejets nocifs sont comme des vannes de plus en plus larges ouvertes sur le ciel, toutes issues de puits intarissables... Fumée ! Hystérie ! Absurdités !

Ce n'est pas parce que les écologistes font plus de bruit que les cheminées des usines qu'ils ont raison. En général les malades se plaignent avec fracas : ils gémissent, crachent, pleurent, crient.

Tandis que les bien-portants restent discrets.

Polluons donc sans remords car la pollution n'existe pas, du moins ses effets concrets sur les éléments sont insignifiants. L'homme qui a plus d'un tour dans son sac et jamais ne dit son dernier mot trouvera toujours des solutions à ses problèmes. Plus vite nous épuiserons nos réserves d'énergie fossile, plus vite nous trouverons d'autres "sources de vie" pour faire tourner nos moulins.

Dans cette perspective, polluer c'est oeuvrer indirectement pour le progrès. Plus nous "polluerons", plus l'ingéniosité humaine brillera pour inventer des soleils, mettre de la lumière dans nos moteurs, de l'intelligence dans nos centrales électriques.

Polluez, polluez au lieu de vivre dans la peur et la culpabilité, polluez et vous serez sauvés de l'inanité des Verts -amis des bêtes et ennemis des hommes, laudateurs des oeuvres de la friche et détracteurs de la Civilisation- qui à force d'imaginer des noirceurs finissent par voir rouge quand -et c'est dans l'ordre réel des choses, la loi douce de l'évolution- l'avenir s'annonce définitivement rose.

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SUITE

(réponse à un détracteur me reprochant ce présent discours)

Comme la plupart des irresponsables complices de l'hystérie collective, vous êtes simplement victime du discours médiatique qui vous sert son mets préparé favori. Les médias depuis des décennies ont proposé pleins d'autres plats plus ou moins racoleurs, plus ou moins dans l'air du temps et c'est la purée verte qui a eu le plus de succès : elle est donc devenue vérité officielle.

Infiniment plus urgent, plus vital et réel est le problème de la faim ou le problème de la malaria, fléaux REELS complètement tus par les médias.

La pollution est une hérésie médiatique reprise par certains politiques et répercutée sur les populations repues plus réceptives aux idéaux "modernes" (idéaux gratifiants en terme d'image socio-culturelle) qu'aux soumissions à des nécessités pesantes. "Sauver la planète" -qui n'a jamais été en péril- donne du lustre à l'ego, à la communauté.

Comme si 100 millions de bras pouvaient renverser les océans, abattre les montagnes, déplacer les continents...

Bref, les moutons écologistes bêlent en choeur dans leur pré vert pendant que leurs frères humains du sud souffrent dans un silence médiatiquement correct.

Chaque époque a cru à la fin du monde : comètes, sorcières, athéisme, an mille, avènement de la poudre à canon, de l'imprimerie source de diffusion de toutes les hérésies, etc... Les prétextes les plus absurdes faisaient entrevoir le pire.

A chaque siècle ses névroses.